
Développée en collaboration avec plusieurs constructeurs automobiles, la technologie Carbon Boost 2.0 se distingue par le recours à des additifs de carbone dans la composition interne de la batterie. Cet apport, qui améliore la structure de surface des éléments internes, permet une bien meilleure conductivité.
Cela autorise une circulation optimale du courant interne, qui se traduit par une meilleure acceptation de la charge. Ces additifs participent également à la dissolution des cristaux de sulfate de plomb qui se forment habituellement sur les plaques négatives d’une batterie en cours de décharge et qui sont responsables de la difficulté de recharge ultérieure.
La capacité de la batterie en question
Notons que pour répondre aux normes européennes qui imposent, d’ici à 2021, des seuils d’émissions de CO2 de 95 g/km, les tests d’homologation des véhicules vont intégrer, pour la première fois, la mesure de la diminution de capacité de la batterie pendant les essais et la convertir en équivalent de carburant et de CO2.
Pour cette raison majeure, les constructeurs doivent désormais prendre en compte cette donnée lors du choix futur de la batterie. En revendiquant sur sa nouvelle génération de batteries EFB, une récupération de 75 % d’énergie en plus comparé à un ancien modèle, Exide Technlogies fait la démonstration de son avancée dans ce domaine.