
Le 24 septembre dernier, la FNA a dénoncé à travers une lettre ouverte à Emmanuel Macron « l’anachronisme et le déphasage » des propositions de la Convention citoyenne du climat se rapportant à l’automobile dans ce contexte de crise sanitaire, économique et sociale. Après la mobilisation de la FNA, les différents acteurs de la filière automobile ont publié une tribune afin de montrer leur opposition aux propositions de durcissement du malus écologique par les pouvoirs publics.
De son côté la FNA persiste et signe : l’organisation professionnelle demande aux pouvoirs publics de ne peut pas retenir le poids pour le malus automobile dans la période actuelle. "Il en va de la survie de nos entreprises".